119 réponses à ce sujet

[Garand]

Condoléances à sa famille, collègues

[Cali91]

C'est terrible. Sincères condoléances aux siens.

[lechasseur32]

Affreux ! C'est le seul mot qui me vient à l'esprit... Condoléances.

[Vintersorg]

Enquête ouverte sur la mort d’une policière

Le Midi Libre

Le parquet de Béziers a saisi hier le Service régional de police judiciaire (SRPJ) de Montpellier d’une enquête pour « homicide », pour tirer au clair les conditions dans lesquelles est morte dimanche soir une quadragénaire, brigadier au commissariat de police de Lattes (Hérault). Son corps carbonisé a été découvert vers 22 h 30, à l’intérieur de la voiture dans laquelle elle circulait avec son mari, sur l’A75, dans le secteur de Clermont-l’Hérault.

Selon le récit fait par son époux, également policier à Montpellier, leur voiture serait tombée subitement en panne, l’amenant à se garer sur la bande d’arrêt d’urgence, contre la glissière, empêchant du même coup l’ouverture de la portière passager. Le mari dit être ensuite allé déposer, à 200 m du véhicule, le triangle pour signaler sa présence. A son retour, la voiture s’était embrasée, et malgré ses tentatives, et celles de témoins arrivés entretemps, la malheureuse n’a pas pu être sauvée.

Au vu de ces circonstances, le parquet de Béziers a tout d’abord saisi les gendarmes d’une enquête pour recherche des causes de la mort, et a ordonné qu’une autopsie de la victime soit effectuée. Dans le même temps, des experts du laboratoire de police scientifique de Marseille ont examiné en détail la voiture : selon leurs premières conclusions, il semble que l’incendie soit parti du moteur. « Des éléments penchant vers la thèse criminelle ont été relevés, mais la version du mari reste plausible », a indiqué une source proche de l’enquête.

Parallèlement, le mari a été entendu : il a précisé que son épouse se serait blessée à la tête dans l’après-midi, lors de tâches ménagères, dans leur domicile, proche de Clermont- l’Hérault. Elle aurait ensuite pris des médicaments, avant d’être victime d’un malaise. C’est pourquoi il a décidé, dans la soirée, de la conduire vers l’hôpital le plus proche de leur domicile, la clinique Pasteur de Pézenas.

L’autopsie effectuée hier au service de médecine légale du CHU de Montpellier semble toutefois renforcer les doutes des enquêteurs sur cet étonnant concours de circonstances : « La victime n’est décédée ni des brûlures, ni de l’inhalation des fumées. Elle serait décédée des suites d’un œdème pulmonaire lié à une consommation excessive de médicaments ». Elle était donc déjà morte au moment de l’incendie de la voiture : son mari devrait très rapidement être interrogé sur ces nouveaux développements du dossier.

[Cali91]

oh çà craint.

[E42]

Le flair du Proc si ça prend cette tournure...

[fab77]

R.I.P Collègue

[LeCimmerien]

c'est bien triste

http://www.midilibre...mme-837990.php5

Édition du mercredi 8 juillet 2009

Hérault

Le policier avoue avoir mis le feu au corps de sa femme

Publié à 12 h 19 - L'enquête ouverte sur le décès suspect d'une jeune femme brigadier au bureau de police de Lattes (Hérault) a connu ces dernières heures de nouveaux développement. Le corps de cette mère de deux enfants en bas âge avait été découvert carbonisé dans sa voiture en flammes dimanche soir sur la bande d'arrêt d'urgence, sur l'autoroute A75, près de Pezenas. Son mari avait expliqué que le véhicule s'était soudain embrasé, après avoir été victime d'une panne, et avoir tenté en vain de la secourir.

Hier en fin d'après-midi, l'époux, brigadier chef au commissariat de Montpellier, a été placé en garde à vue dans les locaux du SRPJ. « Il a reconnu avoir mis le feu au cadavre de sa femme, après qu'elle se soit suicidée à leur

domicile », a indiqué ce matin Patrick Mathé, le procureur de la République de Béziers. L'enquête va toutefois se poursuivre pour éclaircir les circonstances du drame, les résultats de l'autopsie n'ayant pas constaté de traces de strangulation, mais des ecchymoses et un coup sur le crâne.

François BARRERE

Modifié par LeCimmerien, 08 juillet 2009 - 12:58.

[shield]

Sincèrement émue.... Toutes mes condoléances à sa famille, mes pensées pour son époux RIP collègue

[manoul59280]

R.I.P

[grandtom]

Pourquoi le collègue à agît ainsi ?? Pour une histoire d'assurances ? Pour l'honneur de sa femme ? Pour ses enfants ? ... En espérant qu'elle se soit bien suicidée ... Ce qui soulage juste sur le fait qu'elle n'a pas péri carbonisée. Bref ... triste histoire !

[punta]

Sincèrement émue....
Toutes mes condoléances à sa famille, mes pensées pour son époux
RIP collègue

Pour ma part mes pensées vont vers ses enfants. Pour le mari, il a mis le feu à sa femme. Il a voulu masquer quelque chose mais quoi, l'enquête le démontrera

[E42]

"ecchymoses et un coup sur le crâne" je crois malheureusement qu'on est pas au bout de l'affaire... les auditions en GAV risquent d'être pleines de rebondissement.. Un différent conjugal qui aurait mal tourné, un mauvais coup fatal, et une mise en scène pour camoufler les faits...?? Ca ressemble plus à un polar qu'à la vie de Monsieur tout le monde. Dur dur pour les deux enfants au milieu de ce drame.

[Cdiste]

...cette affaire est quand même grave...

[ChrisDC]

C'est l'incomprehension totale a Montpellier... Jaques est un policier carre, juste, droit. Un tres bon professionnel. Lui aussi est arrive en meme temps que moi en septembre 2003 et nous avons bosse ensemble en nuit. Il arrivait de la Bac 18. Les collegues m'ont confirme que le deces de Marie etait bien consequent a un oedeme pulmonaire lie a une trop forte absorbtion de medocs. Alors pourquoi cette mise en scene macabre? Ce qui est d'autant plus incomprehensible, c'est que Jaques en professionnel savait pertinemment qu'apres autopsie on verrait qu'il n'y a pas de fumee dans les poumons. Sur les lieux du drame, apres avoir declare avoir porte assistance a son epouse, il ne presentait aucune trace de brulure, d'ecorchure. Ses vetements etaient intacts... et ses mains sentaient l'essence... J'comprends pas... Tout ce que j'espere a la lueur d'elements appris et dont je ne peux pas parler ici, c'est qu'il ne l'ait pas "suicide"...

[ChrisDC]

Le policier maquille le suicide de sa femme pour toucher l'assurance-vie

La victime, également policier, est morte carbonisée dimanche soir sur l'A75

Un brigadier-chef âgé de 28 ans en poste au commissariat central de Montpellier est placé en garde à vue mardi 7 juillet à 22h45 à l'hôtel de police de Sète dans l'enquête sur la mort suspecte de sa femme, brigadier au commissariat de Lattes. Dimanche 5 juillet vers 22h30, la policière âgée de 30 ans est morte carbonisée sur le siège passager de la voiture du couple, garée sur la bande d'arrêt d'urgence de l'A75, près de Clermont-l'Hérault. Après le drame, le mari explique aux gendarmes que le véhicule est tombé subitement en panne, qu'il s'est empressé d'aller installer le triangle de sécurité et qu'il a soudain vu la voiture s'embraser.

Autopsie
Coup de théâtre lors de l'autopsie pratiquée mardi 7. Les légistes contredisent cette version : la victime était déjà morte avant que son corps ne brûle. Entendu par la police judiciaire, désormais saisie par le procureur de Béziers pour présomption de meurtre, le policier explique d'abord que son épouse a avalé dimanche soir une dose importante de médicaments après une dispute conjugale et qu'il ne s'est pas aperçu qu'elle était inanimée dans la voiture, croyant qu'elle dormait. En s'apercevant finalement qu'elle avait fait un malaise, il a décidé de la conduire d'urgence à la clinique la plus proche, celle de Lodève. Mais la voiture serait donc tombée en panne sur l'A75.
Suicide
Durant sa garde à vue, mercredi 8 juillet, le policier avoue finalement avoir volontairement incendié la voiture avec le corps de sa femme à l'intérieur, après qu'elle se soit suicidée par pendaison, au terme d'une énième dispute conjugale dimanche soir, dans le pavillon du couple à Saint-Pargoire, alors que les deux enfants âgés de 7 et 8 ans étaient endormis. Le policier explique avoir maquillé le suicide en accident, afin de percevoir la coquette prime d'assurance-vie, qui n'est pas versée en cas de décès volontaire. Les faits s'étant déroulés à Saint-Pargoire, commune dépendant du tribunal de grande instance de Montpellier, le parquet de Béziers va transmettre jeudi 9 la procédure au procureur de Montpellier qui ouvrira une informationn judiciaire au criminel.
Jean-Marc Aubert

La Gazette de Montpellier

On va quand meme attendre la version des collegues... Ca ne colle pas avec les declarations du legiste...

[tweetie]

Histoire de fou....Pauvre femme....

[grandtom]

Histoire de fou....Pauvre femme....

Et/ou pauvre homme ...
Attendons des infos de Chris pour nous faire une idée du pourquoi du comment !
Le journaleux parle de pendaison alors qu'il semble que ce soit avec des médocs ...