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CrossFit: les forçats de l’haltère


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14 réponses à ce sujet

#1 Endavour35

Endavour35

    Le Vigilant

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Posté 01 novembre 2014 - 14:46

CrossFit: les forçats de l’haltère

 

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De l’haltérophilie à la course à pied, cette méthode de musculation rassemble des adeptes de plus en plus nombreux dans des salles de gym spartiates où la sueur est reine. L’objectif ? Une remise en forme intensive dans un esprit ultra communautaire, à l’opposé du fitness.

 

Les murs charbon et orange vif sont décrépis. Les programmes d’entraînement sont inscrits à la craie à même la paroi. Il y a des poids et des haltères – beaucoup – que les adeptes laissent violemment rebondir sur le sol au bout de l’effort.

 

Des anneaux de gymnastique en bois pendent ici et là. Aucun miroir.

 

La «cage à tractions», petite structure métallique au milieu de ce rectangle dédié à l’épuisement des corps, tremble sous la vigueur des répétitions. Les exercices s’enchaînent frénétiquement, sans pause, en boucle, pendant une vingtaine de minutes. Pompes en équilibre sur la tête par série de dix puis flexions sur une jambe, les clients ne faiblissent pas. Les coaches, très présents, y veillent: «Arrête de parler! Reste pas par terre! Bouge ton cul!» La session de ce mercredi soir, comme toutes les autres cette semaine, affiche complet. On est à la «box » des CrossFit Original Addicts, rue de Charonne à Paris. Une salle de gym soviétique revue et corrigée par Mad Max. La séance de musculation aseptisée, avec ses machines et ses tapis de course aux télévisions intégrées, sur lesquels roulaient les héros de Bret Easton Ellis dans les années 90, n’est plus la seule activité physique à attirer les foules.

 

Aujourd’hui, le sport est au dénuement. Depuis le début des années 2010, les accros de la forme se sont découvert une passion pour la rusticité et les routines d’entraînement aussi intenses qu’elles semblent rudimentaires. Dérivé le plus symptomatique de cette tendance: le CrossFit, qui émerge en France après avoir déchaîné les passions outre-Atlantique.

 

Un sport pour tous

 

A un jet de «kettlebell» (boule en fonte à poignée venue de Russie) de l’Opéra Garnier, on descend au sous-sol du CrossFit Reebok Louvre pour un premier «wod» («workout of the day» – l’entraînement du jour). Ce sera un «emom» (pour «every minute on the minute»), routine chronométrée, ou un «metcon» (où l’on doit finir le plus vite possible). La discipline a son propre langage, tout en acronymes anglais torturés. «Tout le monde peut y arriver», assure David, superviseur et solide ex-rugbyman. Pendant l’échauffement, l’instructeur insiste sur «les mouvements fonctionnels de tous les jours. Comme ramasser des trucs». En l’occurrence, il s’agit d’une barre lestée de 40 kilos. A priori simple, le geste est plus technique qu’il n’y paraît, et le gainage adéquat échappe aux débutants. Les baffles crachent du rock FM, You’re Gonna Die, promettent les Guns N’ Roses.

 

C’est le début de l’entraînement proprement dit : marcher comme des ours (le «bear crawl»), faire des «fentes» (des pas le plus allongés possibles), se suspendre à une barre de traction, et tenter de lancer ses jambes vers ses coudes. L’exercice se répète, encore et encore, de plus en plus vite. «Putain, ça fume», crie un barbu costaud qui a forcé sur les flexions. Les entraînements sont mixtes et indifférenciés, seules les charges changent. Mélanie, 23 ans, danseuse classique fraîchement reconvertie exhibe fièrement les cloques sur ses mains. «Tu ne viens pas ici pour faire le beau. Tu viens ici pour souffrir.» Mais «dans l’euphorie», précise son compagnon, Ulrich. Le couple, qui vient de lancer sa start-up, s’entraîne cinq à six fois par semaine. «On aime cette rigueur, cette philosophie : être le plus complet possible, dans le challenge permanent», justifie Ulrich. La séance s’achève par des applaudissements. On se cogne les poings, dans une ambiance californienne un peu forcée.

 

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C’est évidemment là que le CrossFit est né, sur la côte ouest américaine, temple du culturisme. La méthode est l’œuvre d’une vie, celle de Greg Glassman, un ancien gymnaste. Dans les années 70, il met au point avec sa femme son programme de préparation physique qu’il enseigne dans son garage à Santa Cruz. Quinze ans plus tard, il entraîne la police de la ville. Glassman pioche ces mouvements à droite à gauche: gym, haltérophilie, lutte, mais aussi dans le «strongman», discipline entre sport et phénomène de foire dont il reprend le soulevé de pneus de tracteur et les exercices à coup de marteau. Son seul mot d’ordre: «La machine, c’est vous.»


L’antidote de la gonflette

 

Durant les années 80-90, où triomphent Schwarzenegger et les machines à poulie, Glassman fait figure de gourou punk du fitness, le CrossFit en antidote à la gonflette. «Le bodybuilding, c’est l’obsession de la prise de masse. On veut que le biceps soit gros et se voit, peu importe ce qu’il peut faire. Le CrossFit, c’est le contraire, la fonction prime sur la forme corporelle», analyse Guillaume Vallet, sociologue spécialiste du rapport au corps à l’université de Grenoble.

 

Un concept qui prend racine dans la Méthode naturelle du Français George Hebert. En charge de l’entraînement des forces de la marine française au début du XXe siècle, il promeut les exercices variés et sans «accessoires» contre le sport, qui se «dévoie» dans la spécialisation du corps et l’affrontement. Il s’inspire des tribus indigènes africaines qu’il rencontre, à la force intacte car selon lui préservée du confort moderne. Un siècle plus tard, Glassman, justifie l’obsession du CrossFit pour la position fléchie (les «squats») par un retour à la posture «naturelle» du corps. En 2001, il dépose le nom CrossFit et met en ligne ses routines de musculation et ses réflexions autour du corps. Les exercices, qui demandent très peu de matériel et d’espace, s’inscrivent dans le mouvement du «garage-gym». N’importe qui peut suivre le programme disponible en ligne. L’évangélisation sur Internet devient virale. D’abord dans le milieu des forces de l’ordre et des pompiers, puis, au début des années 2010, chez les classes créatives de la côte Est.

 

L’engouement pour ses routines quasi-militaires et extrêmes, qui rassemblent ingénieurs, pubards et flics dans les mêmes salles, interpelle. Les magazines parlent de «Generation CrossFit». Aux Etats-Unis, le mouvement connaît depuis cinq ans une croissance exponentielle, avec 50% de nouveaux adhérents chaque année. On compte 10 000 «boxes» dans le monde (une cinquantaine en France). Et il ne s’agit que des boxes affiliés qui payent 2 300 euros par an pour en être. De nombreux professeurs de fitness proposent de pseudo-entraînements estampillés «CrossFit» pour surfer sur la mode, au grand dam des puristes. La compagnie officielle estime à plus de 10 millions le nombre de ses adeptes. «On est la contre-culture du fitness. Mais à l’inverse des règles du Fight Club, on en parle à tout le monde tout le temps», plaisante Joachin Marty, fondateur de la box Original Addicts et ancien trompettiste.

 

Ultra-communautaire, le CrossFit finit par dicter tous les aspects de la vie des plus mordus, des relations à l’alimentation, dans une dévotion absolue à l’entretien de soi. Le régime «paléo», réplique d’une diète alimentaire à base de viande rouge, de végétaux et de graines inspirée des hommes des cavernes, y est la norme.


La culture du dépassement

 

Les adeptes de la méthode Glassman ont d’autres codes : la barbe à la Samson pour les compétiteurs et les tatouages. Au-delà du décor, la discipline cultive son côté post-apocalyptique, darwiniste. «Ce qui survit est ce qui peut s’adapter, la nature punit le spécialiste. C’est ce que nous apprend le CrossFit», résume Joachim Marty.

 

Recherchant le point de rupture dans l’effort extrême, la méthode a subi le feu des critiques de certains médecins. Ces derniers pointent les risques de blessures musculaires, comme la rhabdomyolyse, maladie grave causée par l’épuisement des tissus. «Il y a plus de risque de mourir en faisant un marathon, balaye Joachim Marty. Si notre discipline choque en France, c’est qu’ici, il y a une obsession des pratiques sécurisantes, du“faut-pas-trop-forcer”. Nous, on pense qu’il faut se dépasser. On est dans la culture de l’intensité.» Une philosophie parfaitement dans le zeitgeist libéral économique de l’époque. Son idéal de corps est «productif et performant, adaptable et améliorable dans la souffrance», analyse Guillaume Valet. «La recherche de la douleur rentre dans une logique très capitaliste – c’est par elle qu’on se hiérarchise par rapport aux autres dans un monde dépolitisé. C’est toute l’idée du “no pain, no gain” (pas de souffrance, pas de récompense).»


Quarante instructeurs chez Microsoft

 

Aux Etats-Unis, de nombreuses entreprises proposent des séances gratuites à leurs employés pour doper leur productivité. Microsoft compterait quarante instructeurs. «Le CrossFit, c’est le nouveau golf», explique un cadre dans un article du New York Times. Les séances encouragent aussi la cohésion: malgré la compétition inévitable entre les pratiquants, chacun se doit d’encourager l’autre. Parfait pour les séminaires d’entreprise sur le travail en équipe.

 

L’anthropologue Gilles Vieille-Marchiset note là une quête du retour à l’authenticité, paradoxale chez un public de cadres, plutôt urbains, amateurs de nouvelles technologies.

 

Mais le CrossFit, solution fitness anti-crise à l’origine, est à l’heure de la monétisation et a tapé dans l’œil des grandes marques. Avec en premier lieu Reebok, qui s’est taillé la part du lion en ouvrant ses boxes et en sponsorisant généreusement les championnats du monde, qui se tiennent aux états-Unis chaque année depuis 2007. Car le CrossFit veut devenir un sport à part entière, après avoir converti ce que les adeptes appellent les «sédentaires». Et ainsi transformer la préparation physique en fin en soi, par sa simple vertu du dépassement de soi par la souffrance. Avec pour adage : «Notre échauffement vaut à lui seul l’entraînement complet des autres.»

 

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Le fitness à la dure

 

Depuis le début des années 2010, le CrossFit domine le créneau de la remise en forme dans la douleur. Cette méthode de conditionnement physique allie haltérophilie, gymnastique et endurance sous un packaging communautaire chargé en testostérone.

 

Aperçu d’un entraînement culte pour les «héros» (sic) : 1,5 km de course, 100 tractions, 200 pompes, 300 squats et 1,5 km de course à nouveau, sans pause. Une pratique addictive. Dans les banlieues et les parcs des grandes villes, on voit aussi le «street workout», muscu des rues détournant le mobilier urbain, faire florès. Comparés au CrossFit, les exercices insistent moins sur l’intensité et plus sur la force, notamment du haut du corps, pour arriver à tenir des positions improbables, comme celle du drapeau par exemple, où l’on tient à un panneau ou une barre à l’horizontale, à la seule force des biceps.

 

A Paris, on peut pratiquer sur les quais de Seine, au parc des Buttes Chaumont, notamment, en prenant contact avec les équipes locales, comme la célèbre Punishment Team du rappeur MC Jean Gab’1. Les courses avec obstacles – «muds days» et autres «spartan races» – remettent au goût du jour le principe du parcours du combattant. Elles attirent des dizaines de milliers de concurrents, prêts à avaler de la boue pour ramper sous des barbelés sur une course de plus de 10 km en moyenne. Enfin, des hôtels de luxe (comme la Réserve à Ramatuelle, sur la côte d’Azur) proposent des entraînements paramilitaires appelés «bootcamps», inspiré par la routine des Marines américains. Avec la promesse d’une «déconnexion mentale et assèchement corporel garantis», entre un bol de soupe et un passage au spa.

 

SOURCE


Modifié par Endavour35, 01 novembre 2014 - 14:46.


#2 grandtom

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Posté 01 novembre 2014 - 15:15

Très à la mode, je confirme. Quelques collègues en font.

Je suis tombé sur les compet' Reebok quelques fois en zappant.
Si les athlètes sont impressionnants, ce n'est pas passionnant à suivre.
 

http://games.crossfi...gional-schedule


"Gardons-nous de sous-estimer le pouvoir de nuisance des petits chefs entre le moment où ils sortent du néant et l'instant où ils y retournent." Philippe Bouvard


#3 vinz83

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Posté 01 novembre 2014 - 15:31

Je demande a les revoir dans 10 ans.... a mon avis ils auront quelques petits soucis physiques. .
Aussi silencieuse dans l'approche que fulgurante dans l'attaque




#4 Le_petit_suisse

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Posté 01 novembre 2014 - 15:43

Je demande a les revoir dans 10 ans.... a mon avis ils auront quelques petits soucis physiques. .

C'est comme tous les sports, du patinage à la course à pied en passant par la natation, si tu abuses tu le paies des années plus tard! Et vu l'intensité et la brutalité envers le corps des entraînements, les muscles et articulations vont être dans un sale état...

#5 vinz83

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Posté 01 novembre 2014 - 16:15

A la difference que d autres sports ne sont pas aussi traumatisants et mieux encadrés
Aussi silencieuse dans l'approche que fulgurante dans l'attaque




#6 matheworld

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Posté 02 novembre 2014 - 10:53

Je n'ai fait qu'une séance de crossfit avec un dingue le pratiquant.. Putain que c'est intense ! J'ai cru que j'allais tomber dans les pommes.. Hyper efficace pour travailler les muscles du corps dans un cardio très haut..

Mais ça m'a filé une espèce de gros torticolis très handicapant que seul l'osthéo a réussi à me décoincer.. et réveillé une tendinite (oublié) au coude..

Bref, l'osthéo m'a dit que passé 40 ans, il ne fallait plus trop jouer au jeune.. notamment avec le cross fit

Je vais retourner à Lafay et à la course à pied.. Mais le crossfit reste attirant une fois que tu y a goûté, damned ! :top:


L'arbre qui tombe fait plus de bruit que la forêt qui pousse..

#7 flod

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Posté 02 novembre 2014 - 10:57

Le seul reproche que je pourrai faire au Crossfit est qu'il est loin d'être activité  ouverte à tous, avec des abonnements mensuels dans les box qui avoisinent les 100€ par mois. Box qui sont censées garantir une bonne pratique, avec des coachs qui surveillent les mouvements et corrigent les défauts.



#8 jercr7

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Posté 02 novembre 2014 - 15:38

Les tarifs en box sont prohibitifs, c'est vrai

En revanche personne n'est obligé de ce defoncer à chaque fois jusqu'à finir blessé... Un corps sa s'entretient aussi avec une bonne hygiène de vie (sommeil, repas, étirement...)
Et le gros avantage de ce sport c'est qu'il touche à tout, tout le corps =)
Who Dares Wins



GPX



Si Vis Pacem, Para Bellum
------------------------

#9 vincent

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Posté 02 novembre 2014 - 18:47

A la difference que d autres sports ne sont pas aussi traumatisants et mieux encadrés

 

J'ai pratiqué le Koykushinkaï avec "ardeur", et j'ai du arrêter pour un problème synoviale et ligamentaire aux poings. Sans compter les journées avec les tibias et les cuisses meurtris.

J'ai pratiqué la boxe thaïe, et en 5 petites années, je n'ai rien eu à part de petits saignements au nez et un coco.

Un footeux aura des chevilles dans un état lamentable, un rugbyman d'autres blessures, des judokas aux épaules détruites. 

 

Tout dépend de l'implication de la pratique. Tu n'es pas obligé de respecter le cycle 3jrs on, 2 off, 1 on, 1 off ou faire 5 séances de suite. J'en ai vu qui en font même 2 séances dans la journée. Comme j'ai vu des mecs taper 15mn à la fin de chaque cours sur une poutre avec les poings ou les tibias … 

 

Par contre je te rejoins sur l'encadrement. Mais comme les ersatz de Krav Maga et autre self défense, avec des mecs certifié après peu de pratique, la mode favorise la multiplication des profs qui veulent profiter d'une nouvelle niche.

 

Après avoir fait un simili crossfit au taf, je me suis inscrit. Certains mouvements, surtout d'haltéro, peuvent être dangereux en auto didacte. 

Ca coute un bras, beaucoup trop cher, mais c'est une approche sympa du sport. Du cardio, de la force et de l'agilité. ainsi que de la souplesse. 


"Puisque je suis l’un d’eux, je ne renierai jamais les miens quoi qu’ils fassent. Je ne parlerai jamais contre eux devant autrui. S’il est possible de prendre leur défense, je les défendrai. S’ils sont couverts de boue, j’enfermerai ma honte dans mon cœur et je me tairai. Quoi que je pense alors d’eux, je ne servirai jamais de témoin à charge" Saint-Exupéry.

#10 matheworld

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Posté 22 novembre 2014 - 11:43

Si certains sont intéressés par des entrainements cross fit, hiit ou tabata au poids de corps, allez faire un tour sur le site ci dessous.. Ca permet de varier les plaisirs (ou les souffrances) :fear:

 

http://www.litobox.c...trainements-wod


L'arbre qui tombe fait plus de bruit que la forêt qui pousse..

#11 vincent

vincent

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Posté 22 novembre 2014 - 20:57

Si certains sont intéressés par des entrainements cross fit, hiit ou tabata au poids de corps, allez faire un tour sur le site ci dessous.. Ca permet de varier les plaisirs (ou les souffrances) :fear:

 

http://www.litobox.c...trainements-wod

 

J'avais commencé il y a quelques mois, j'avais arrêté assez rapidement. Il avait des programmes trop durs. J'ai fini avec une session à 3 rounds de 30 tractions, 40 pompes et 50 squats … que je n'avais pas fini d'ailleurs !! 

 

Sinon tu as ce site, qui permet de choisir avec kb, matos, sans matos, cardio etc ...

http://www.woddrive.com/wods.html


"Puisque je suis l’un d’eux, je ne renierai jamais les miens quoi qu’ils fassent. Je ne parlerai jamais contre eux devant autrui. S’il est possible de prendre leur défense, je les défendrai. S’ils sont couverts de boue, j’enfermerai ma honte dans mon cœur et je me tairai. Quoi que je pense alors d’eux, je ne servirai jamais de témoin à charge" Saint-Exupéry.

#12 Ploufplouf

Ploufplouf

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Posté 22 novembre 2014 - 21:24

salut à tous

 

Pour info un moniteur APP du 92 dispense des cours de Crossfit dans le 92 avec un tarif préférentiel pour les collégues, sachant que le tarif n a rien à voir avec les prix pratiqués dans les box, je précise que je n' y suis pas inscris mais visiblement c est sympa

le lien du site du collégue

 

http://www.impact-cr...m/#!about/c10fk



#13 F.rp

F.rp

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Posté 23 novembre 2014 - 12:25

Je suis contre le crossfit de base.

Le crossfit qui détruit le dos, qui use le corps, fait par des "entraineurs" inaptes, ...

 

Mais pour cet APP du 92, il gère vraiment bien le crossfit. Il a étudié de fond en comble ce domaine.

Et il en ressort une base saine du crossfit.

Vous pouvez y aller en toute confiance.

C'est rare de voir quelqu'un pratiquer le crossfit de façon saine et performante.

Il en fait parti.



#14 vincent

vincent

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Posté 23 novembre 2014 - 14:43

Je suis contre le crossfit de base.
Le crossfit qui détruit le dos, qui use le corps, fait par des "entraineurs" inaptes, ...
 
Mais pour cet APP du 92, il gère vraiment bien le crossfit. Il a étudié de fond en comble ce domaine.
Et il en ressort une base saine du crossfit.
Vous pouvez y aller en toute confiance.
C'est rare de voir quelqu'un pratiquer le crossfit de façon saine et performante.
Il en fait parti.

Pourcelot ne cesse de clamer qu'il ne fait pas du crossfit. Et il n'assure pas tout les cours.

Modifié par vincent, 23 novembre 2014 - 14:45.

"Puisque je suis l’un d’eux, je ne renierai jamais les miens quoi qu’ils fassent. Je ne parlerai jamais contre eux devant autrui. S’il est possible de prendre leur défense, je les défendrai. S’ils sont couverts de boue, j’enfermerai ma honte dans mon cœur et je me tairai. Quoi que je pense alors d’eux, je ne servirai jamais de témoin à charge" Saint-Exupéry.

#15 matheworld

matheworld

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Posté 24 novembre 2014 - 14:00

 

J'avais commencé il y a quelques mois, j'avais arrêté assez rapidement. Il avait des programmes trop durs. J'ai fini avec une session à 3 rounds de 30 tractions, 40 pompes et 50 squats … que je n'avais pas fini d'ailleurs !! 

 

Sinon tu as ce site, qui permet de choisir avec kb, matos, sans matos, cardio etc ...

http://www.woddrive.com/wods.html

 

Effectivement, il y a des sessions quasi infaisables ou alors il faut tricher, ce que je ne souhaite pas (pas envie de me blesser).. J'essaie de faire tous les mouvements de manière stricte et propre, parfois en n'arrivant pas au nombre de rep demandées, mais j'en fais le max quand même..


Modifié par matheworld, 24 novembre 2014 - 14:00.

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