Chapeau, Thomas. J'ai un vague souvenir des débuts. Je me souviens avoir été mal à l'aise, sans doute que, plus jeune et moins expérimenté, je pensais que le deuil devait se vivre dans l'intimité, de crainte que reproche et tristesse se confondent. Mais très vite, tu nous as montré que se souvenir en place publique était la chose la plus naturelle. J'ai lu certaines vieilles histoires accompagnant des photos noir et blanc, essayant d'imaginer l'époque, la situation, les personnages. Aujourdhui, il serait impensable que ton projet ne soit pas... et pourtant, il a fallu t'attendre toi pour qu'il devienne réalité. Pour ton temps, ton investissement, ton courage aussi, à côtoyer de près ces émotions fortes, encore bravo et merci.
Modifié par frogman, 18 septembre 2017 - 21:24.