Marche silencieuse 20/04/07 à 14h00
#1001
Posté 11 mai 2007 - 10:52
- Plus nous volons haut, plus nous paraissons petits à ceux qui ne savent pas voler. Nietzsche
- Quand le mal a toutes les audaces, le bien doit avoir tous les courages. Beaumarchais
- N’ayez plus honte de dire ce que vous n’avez pas honte de penser. Michel de Montaigne
- Que ma vie m'abandonne avant mon courage!
MA PRESENCE DERANGE???? DANS CE CAS JE PREFERE RESTER!!!^^
Une nouvelle étoile dans le ciel : Jessica
#1002
Posté 11 mai 2007 - 14:56
#1003
Posté 11 mai 2007 - 15:32
#1004
Posté 11 mai 2007 - 15:36
#1005
Posté 11 mai 2007 - 15:44
#1006
Posté 11 mai 2007 - 15:57
GPX en brigade de nuit TRAPPES
#1007
Posté 11 mai 2007 - 17:10
ENP Nimes , 208ème
Affectation au CSP du 92
#1008
Posté 11 mai 2007 - 17:55
#1009
Posté 11 mai 2007 - 17:57
Reçu aux QB 2009 !!!
"Crouch, touch, pause, engage !"
#1010
Posté 11 mai 2007 - 18:09
#1011
Posté 11 mai 2007 - 18:10
mon blog : http://policierunmet...x.blogspot.com/
La page Facebook du blog : Policier un métier dangereux
#1012
Posté 11 mai 2007 - 18:58
#1013
Posté 11 mai 2007 - 19:06
Postez utile, et dans le respect de chacun !
Bier - O.P.J.
#1014
Posté 11 mai 2007 - 19:16
#1015
Posté 11 mai 2007 - 19:25
- Plus nous volons haut, plus nous paraissons petits à ceux qui ne savent pas voler. Nietzsche
- Quand le mal a toutes les audaces, le bien doit avoir tous les courages. Beaumarchais
- N’ayez plus honte de dire ce que vous n’avez pas honte de penser. Michel de Montaigne
- Que ma vie m'abandonne avant mon courage!
MA PRESENCE DERANGE???? DANS CE CAS JE PREFERE RESTER!!!^^
Une nouvelle étoile dans le ciel : Jessica
#1016
Posté 11 mai 2007 - 19:47
#1017
Posté 11 mai 2007 - 19:48
GPX en brigade de nuit TRAPPES
#1018
Posté 11 mai 2007 - 19:53
#1019
Posté 11 mai 2007 - 19:56
Tout à fait,on en pas reparlé par la suite mais certains passages m'ont également noué la gorge..........Les mouchoirs circulaient dans les rangs.Enormement d'émotions aujourd'hui avec un texte qui m'a noué la gorge...
#1020
Posté 11 mai 2007 - 20:09
De 2.000 à 3.000 policiers ont défilé vendredi après-midi à Paris en hommage à Reynald Caron, gardien de la paix tué le 9 avril à la Foire du Trône, dans un climat chargé d'émotion et avec le souci d'"éviter toute récupération".
La marche, autorisée, était une initiative de la famille du policier. Elle a eu lieu non loin de la Foire du Trône.
Nicolas Sarkozy (d) sert la main de la mère © de Reynald Caron, en présence de la veuve du policier (g), le 11 mai 2007 à Paris
Avant que le cortège ne s'ébranle dans un lourd silence, au son d'un biniou le frère de la victime, Sylvain, a pris la parole pour en appeler au nouveau président de la République, Nicolas Sarkozy.
"Recevez ma famille", a-t-il dit. "Reynald ne reviendra pas de (sa) mission. Pourquoi? Cette question restera pour nous en suspens".
Son voeu a été exaucé: Nicolas Sarkozy a reçu la famille en fin d'après-midi rue Saint-Dominique, à Paris, où il dispose de bureaux provisoires.
M. Sarkozy, qui a occupé pendant plus de quatre ans les fonctions de ministre de l'Intérieur, a raccompagné la famille, s'attardant longuement sur le perron pour leur serrer la main.
Sylvain Caron a demandé aux participants à la marche "de mettre de côté (leurs) différences". "Chacun de nous vient avec sa peine", a-t-il ajouté.
Les syndicats de police étaient tous présents, mais sans bannière afin de respecter ces consignes.
La compagne du policier décédé, Virginie, étreinte par la douleur, a parlé de Reynald Caron comme s'il était encore vivant: "Je suis ta future femme", a-t-elle dit. "Nous avons une petite fille (de 9 mois) et il faudra que tu emmènes notre +bébounet+ chez le docteur car elle est malade".
Le 9 avril, vers 21H00, une rixe à l'entrée du manège "Le Maxximum" avait été provoquée par des jeunes gens. Des policiers s'étaient interposés. Reynald Caron, 31 ans, avait été tué sur le coup par la nacelle.
Quatre jeunes gens ont été mis en examen le 14 avril, dont l'un pour "coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner sur personne dépositaire de l'autorité publique".
Le 20 avril, entre 700 et 1.000 policiers avaient déjà défilé à Paris à la mémoire du policier, se donnant rendez-vous par mails, en dépit de la décision de reporter officiellement cette marche silencieuse après la présidentielle, syndicats policiers et autorités redoutant alors une récupération politique ou des dérapages.
Beaucoup de participants ont été peu diserts devant les médias, neutralité oblige, mais n'ont pu taire les "risques" et le "malaise" de leur métier, à l'instar de Bertrand, 28 ans, en poste à Gonesse (Val d'Oise), qui attendait "au moins le double de participants".
"Pas de récupération", ont martelé les syndicalistes policiers aux médias. "Mais je ne peux m'empêcher de parler de bas salaires, de pénibilité et de dangerosité du métier de +flic+", a tonné Joaquin Masanet, "patron" du premier syndicat de gardiens de la paix, l'Unsa-police.
"Pour l'action revendicative, on verra après avec le futur gouvernement", a pour sa part annoncé son concurrent, Jean-Claude Delage, d'Alliance.
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