Merci ici aux témoignages de collègues qui confirment ce pourquoi nous ne sommes pas d'accord, vu que sur certains blogs, on trouve des excuses possibles et inimaginables comme:
- mais non vous n avez pas compris, c'était le passage du corbillard donc tout le monde se retourne etc.
Acte a faire?, beaucoup prennent l exemple de "36"!
C'est un avis, et un acte pour faire un électrochoc? Mais pas ici, pas en un jour particulier d'hommage.
En tout cas, je suis bien content que nous sommes une poignée a reconnaitre les faits ici, même si mon intention maintenant n'est pas a faire nous même la course aux collègues.
Que les autorités se débrouillent, mais de dire que nous n'étions pas d'accord, on en a encore le droit.
Mais alors, quel est le moment ?? Parce que si t'attends d'avoir la presse télévisée, le PR, des ministres au chevet d'un collègue gravement blessé, le moment risque de ne jamais venir.
Ici la donne est différente. Peut être parce que c'est ETA. Peut être aussi parce qu'à ce moment, un autre pays a manifesté beaucoup d'attention à ce policier français. Parce qu'en Espagne, ce fut un drame. Et les citoyens ont manifesté en masse. Alors c'est pas parce que c'est un flic qui est au tas qu'il y a eu tant d'huiles sur place. C'est juste parce qu'on était en train de prendre une leçon de patriotisme, pour moi c'en est, d'un autre pays.
Bref, le moment ne va pas revenir de si tôt.
Juste une petite remarque que je me suis faite. A la mort de Reynald Caron, fallait pas descendre dans la rue parce qu'on était entre deux tours et il fallait éviter toutes récupérations électorales. Si je me souviens bien. Et là, c'est sur notre dos qu'on fait de la bonne récup électorale, non ?