Gestion des corps morts
#1
Posté 01 avril 2005 - 13:10
#2
Posté 01 avril 2005 - 20:52
La Pm où tu travailles !!!!salut,
je voulais savoir si il y a des brigades nautiques qui s'occupent de la gestion des corps morts.
Merci!!
en ce qui nous concerne, c le capitaine du port de plaisance qui s'en occupe
Hervé - Andernos
#3
Posté 01 avril 2005 - 21:30
Modifié par fraver33, 05 avril 2005 - 09:27.
#4
Posté 07 avril 2005 - 21:26
#5
Posté 07 avril 2005 - 21:35
déjà tu peux supprimer la RPbon, apparament, on est tout seul....sniffffffffffffffff
#6
Posté 07 avril 2005 - 21:39
#7
Posté 26 janvier 2006 - 13:16
#8
Posté 27 juillet 2009 - 22:54
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CAP-FERRET. Mission numéro un de la brigade nautique : la gestion de 3 000 corps-morts, bouées d'amarrage très convoitées, parfois piratées
Surveillants du parking flottant
La brigade nautique du Cap Ferret (ici prise en photo vendredi)
intervient principalement quand un bateau occupe illégalement,
ou par erreur, (PHOTO franck perrogon)
C'est une constellation, un bourgeonnement. Ils flottent à perte de vue, souvent tenus en laisse par des bateaux, à moins que ce ne soit l'inverse : les corps-morts, ces bouées d'amarrage ancrées dans la mer par un bloc de béton, peuplent le Bassin.
Au Cap-Ferret, 3 000 de ces points d'attache quadrillent, tout le long de la presqu'île, la zone de mouillage, divisée en secteurs, eux-mêmes organisés en lignes... Un parking géant dont la gestion, qui fut longtemps l'affaire de l'État, revient depuis 2006 à la mairie de Lège. Et en particulier à sa brigade nautique, que nous avons suivie vendredi après-midi en patrouille sur sa vedette blanche.
« Squat » de corps-morts
« Nous intervenons principalement dans trois cas : quand des bateaux occupent un corps-mort sans autorisation, quand ils jettent une ancre, ce qui est interdit en zone de mouillage, ou quand des « squatteurs » se trompent de bouée, ceci pouvant provoquer une certaine pagaille... » note, en préambule, Typhaine Bayrou, brigadier-chef à la police municipale.
14 h 30, la patrouille s'élance : un ferret-capien vient de signaler par un coup de fil que deux bateaux stationnés sont en passe de s'entrechoquer. Direction La Vigne. Prise de photos, observation à la loupe des deux embarcations... fausse alerte : la distance réglementaire entre les deux corps-morts est respectée.
15 heures : nouvel appel, pour un litige entre deux bateaux sur une même bouée ; en route pour l'Herbe. Mais voilà que sur ce chemin semé d'embruns apparaît une anomalie : un Zodiac s'est garé en se fixant, via une corde, à un autre Zodiac, lui bien relié à un corps-mort. Pas gêné ! Nos brigadiers dressent un constat et donnent l'après-midi au propriétaire pour remettre son canot pneumatique dans le droit chenal.
Au fil de la traversée, la surprise vient moins, en fait, de ce qui se passe que de ce qui ne se passe pas. Des centaines de bateaux sont là silencieux, immobiles, accrochés à leur corps-morts, dont 95 % sont occupés. Étonnant pour un assez bel après-midi du mois de juillet... « Selon des études de spécialistes du littoral, les bateaux sur le Bassin font, en moyenne, moins d'une dizaine de sorties par an » remarque Henri Laplanche, responsable du service des corps-morts à la mairie de Lège.
400 bateaux en attente
Problème : avec un parc de 3 000 corps-morts, la mairie ne peut satisfaire toutes les demandes. Actuellement, 400 plaisanciers sont sur liste d'attente. Donc question : est-il normal que tant de bouées soient mobilisées pour un usage si ponctuel ? Réponse : « Justement, la réglementation s'adapte. Jusqu'ici, les corps-morts étaient attribués pour toute la saison, pour une période allant de mars à octobre. Pour davantage de rotation, nous avons mis en place des corps-morts provisoires, destinés à des mouillages de passage : au trimestre, au mois ou à la quinzaine. Actuellement, 700 de nos 3 000 corps-morts sont ''de passage'' » répond Henri Laplanche.
Beaucoup de demandes pour peu d'espace, des bateaux-ventouse... la gestion des corps-morts du Cap-Ferret évoque celle du stationnement automobile dans l'hypercentre bordelais. « Nous essayons de trouver l'équilibre entre les particuliers, les ostréiculteurs, les chantiers navals... », explique Henri Laplanche.
Il faut croire que sa brigade et lui, une demi-douzaine de personnes en tout, s'en sortent plutôt bien : depuis que la commune gère cet épineux dossier, il a gagné en sérieux et en clarté au dire de plaisanciers qui regrettent, en revanche, une hausse des tarifs (1).
(1) Très variables selon les périodes et les catégories de bateaux : de 270 euros pour trois mois hors saison à 1 050 euros du 1er mars au 31 octobre.
Auteur : JULIEN ROUSSET
Sud Ouest - Lundi 27 Juillet 2009
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Histoire d'inciter RJ_BR à revenir
#9
Posté 28 juillet 2009 - 09:52
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