39 réponses à ce sujet

[sergent higway]

Sincères condoléances...

[DRUSS]

Mes condoleances a sa famille ainsi qu a ses proches. Lui souhaitant d avoir trouve la paix.

[Totoffe]

Sincères Condoléances .

[maximus]

sincères condoléances

[Superbird78]

Toutes mes condoléances à sa famille et ses collègues.

[ronchon]

Toujours aussi attristant d'apprendre le départ pour l'au-delà d'un collègue surtout dans de telles conditions, et malheureusement la liste s'allonge. Condoléances sincères à la famille et tous ses proches, courage à tous ses collègues de travail.

[PITTBULL89]

sincères condoléances

[calimoucho64]

Sincères condoléances.

[PM54]

Sincéres condoléances à sa famille et ses collégues PM54

[wolf94]

Condoléances à sa famille, qu'il repose en paix.

[Jean-François]

Condoléances à sa famille, ses proches et ses collègues

[Cunningham]

oui attristant... Condoléances à la famille et soutien aux collègues

[chef caliméro]

Sincères condoléances à sa famille à ses amis et collègues

[spawnange]

Sincères condoléances

[chico]

Sincères condoléances

[Pateau]

Sincères condoléances

[APJ]

Je fais parvenir à la famille du collègue mes sincères condoléances. Amicalement

[DO14]

Sincères condoléances.

[calimoucho64]

Pusignan: le chef de la police municipale se suicide

Le corps de Jean Martel, chef de poste depuis dix ans dans ce village de l'Est lyonnais, a été retrouvé lundi soir sur son lieu de travail

Un village sous le choc : hier matin, les habitants de Pusignan apprenaient avec stupeur le suicide de Jean Martel, 57 ans, chef de la police municipale depuis dix ans. Il s'est pendu sur son lieu de travail, dans le local de la police, un petit bureau qu'il occupait avec ses deux agents, route Nationale, au coeur du bourg.
C'est là qu'a été découvert le corps lundi soir, vers 19 h 30, par deux adjoints au maire. « J'étais en réunion, en mairie, lorsque Joëlle Martel est arrivée. Elle s'inquiétait de ne pas avoir de nouvelles de son mari, raconte le maire Chantal Genthon.
Deux de mes adjoints se sont immédiatement rendus sur place. Ils ont vu la voiture de Jean Martel sur le parking à côté du local de la police municipale, et ont eu un mauvais pressentiment. Malheureusement, il s'est confirmé. » Les pompiers puis le Samu sont arrivés sur les lieux, accompagnés de gendarmes de la brigade de Chassieu, qui a été chargée de l'enquête. Transporté à l'Institut médico-légal, le corps de Jean Martel a été autopsié hier matin. Hier après-midi, le lieutenant Buzin, commandant de la brigade, confirmait que le policier avait « laissé un mot » sur les lieux de son suicide.

Il y a trois ans, une « affaire traumatisante »

La disparition de Jean Martel a plongé dans le chagrin les quelque 1 500 habitants de ce village tranquille de l'Est lyonnais. Et suscité les plus grandes interrogations alors que « personne ici ne pouvait s'imaginer un tel drame », témoigne Cathy, qui tient la boulangerie mitoyenne à la police municipale. Chantal Genthon évoque quant à elle « ce choc dont Jean Martel ne s'est jamais remis », il y a trois ans, lorsque le policier découvre les corps d'un père - suicidé par pendaison - et de son fils dans une maison de Pusignan. « Il a été le premier arrivé sur les lieux, cette affaire a été très traumatisante », raconte le maire. Certains de ses amis, auxquels il avait l'habitude de se confier, témoignent par ailleurs d'une certaine fatigue psychologique aggravée par une pression grandissante dans l'exercice de sa fonction de chef de poste. Reste aujourd'hui aux enquêteurs à fournir des éléments de réponse aux nombreuses questions que ce geste tragique a posées.
Emmanuelle Babe
ebabe@leprogres.fr



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Un homme très apprécié

« Jean nous manque déjà », lâchait avec émotion, hier après-midi, Christiane Allabouvette. L'adjointe aux affaires sociales a passé une partie de la soirée de lundi auprès de la famille de Jean Martel, son épouse Joëlle et ses deux enfants, Amandine et Julien. La famille vivait à Charvieu, en Isère, où Jean, originaire du Puy, a été policier municipal avant d'être embauché comme chef de poste à Pusignan, il y a dix ans. Deux policières travaillaient sous ses ordres. Unanimement apprécié, « attentif », « volontiers blagueur », celui qui fut également correspondant sur la commune de Meyzieu pour Le Progrès participait activement à la vie de Pusignan, de la sécurité à la sortie des écoles au vide-greniers annuel. « C'était un chef de police dont j'étais très contente, un professionnel sérieux que tout le monde aimait », a réagi Chantal Genthon. « Quand les gens étaient en vacances, il faisait le tour des maisons, pour surveiller, sans qu'on ne lui demande rien », témoigne un ami. Le policier était toujours disponible pour animer des journées de sensibilisation à la sécurité routière dans les écoles de la commune. A l'initiative des associations de parents d'élèves, un petit texte sera glissé dans le cahier de liaison de chaque écolier appelant à la solidarité avec la famille et au don dans l'urne déposée en mairie dès ce matin. Les obsèques se dérouleront vendredi à 15 heures à l'église de Pont-de-Chéruy.

E. B.

Source : Le Progrés.fr Article du mercredi 10 octobre 2007

Condoléances à sa famille et aux proches.
PS: excusez-moi les modés mais je ne savais pas où poster cet article.

Modifié par calimoucho64, 13 octobre 2007 - 08:06.

[selenia]

Sincères condoléances à sa famille, à ses amis et collègues.